Catégorie : Communiqués de presse Page 2 of 4

Soutien à Delphine Batho

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Delphine Batho est une députée travailleuse et efficace :

– Elle est très présente à l’assemblée et pertinente dans les débats nationaux.

– Elle connaît les atouts et les faiblesses de notre territoire.

– Elle répond rapidement et positivement à toutes les sollicitations des particuliers, des élus, des associations et des acteurs économiques dans la 2ème circonscription.

Notre territoire a besoin d’une députée dont nous savons qu’elle :

– participera à l’élaboration des textes de loi proposés par le gouvernement quand ils sont bons pour les citoyens, pour soutenir les agriculteurs et tous les acteurs économiques, pour que la transition énergétique soit une chance pour la France, pour l’accès de tous à la santé, pour la défense des pouvoirs d’achat.

– s’opposera et proposera des alternatives à la révision du code du travail, à la baisse de la CSG pour les retraites et salaires modestes, à la ratification du contrat de libre échanges avec le Canada.

– travaillera sans relâche avec conviction et honnêteté sur la circonscription, pour la culture, pour un parc naturel régional en Gâtine, pour une démographie médicale équilibrée, pour le travail et la réussite économique.

Nous avons besoin de député-e-s de gauche qui soient libres de leur parole et fermes sur leurs convictions. Avec Delphine Batho, nous avons l’assurance que les problématiques du département des Deux-Sèvres soient entendues à Paris et défendues avec pugnacité. Delphine Batho est la candidate du rassemblement pour l’intérêt de notre circonscription

Le choix de la défense des valeurs républicaines

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Le résultat du premier tour de l’élection présidentielle est sans appel, nous devons écouter le message envoyé par les électeurs. Nos partisans ont, pour beaucoup, fait le choix du (ou des) «vote(s) utile(s)» au détriment de notre candidat. Dans les Deux-Sèvres, les suffrages des électeurs se sont portés en premier lieu sur Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Aussi, le seul motif de satisfaction viendra du fait que les valeurs républicaines continuent d’être présentes à l’esprit des Deux-Sèvriens. Toutefois, le résultat national de ce premier tour va nous imposer un autre choix pour le dimanche 7 mai. Nous aurons à choisir entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Nous devons assumer nos responsabilités  car les deux visions de la France qui nous sont proposées ne se valent évidemment pas. Face à l’extrême droite, comme toujours, nous devons appeler à faire le choix de la défense des valeurs républicaines. En 2002, à contre-coeur, nous avions porté un bulletin Chirac à l’urne pour faire barrage au FN et, déjà, à la famille Le Pen. Ce vote ne s’est pas fait sans douleur tant les valeurs portées par le candidat de la droite étaient éloignées des nôtres. Dimanche 7 mai 2017, une nouvelle fois nous choisirons le camp des républicains.

Nous aurons rapidement l’occasion de défendre les valeurs de gauche lors de la campagne des législatives qui, nous l’espérons, laissera plus de place aux débats de fond qu’aux tristes affaires qui nous ont pollués ces derniers temps. Plus que jamais, ces prochaines législatives vont revêtir un enjeu d’une importance capitale. La Gauche se doit d’être à la hauteur. Nous faisons confiance pour cela à Delphine Batho, Marc Bonneau et Elodie Truong, nos candidats pour les Deux-Sèvres.

Rodolphe Challet

Président du groupe Gauche solidaire

Projet de réserves de substitution de la coopérative de l’eau : un projet à réorienter.

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La question de l’eau est au cœur des préoccupations liées à l’urgence climatique. Elle interroge de façon transversale plusieurs politiques publiques, et à ce titre, le projet de réserves porté par la coopérative de l’eau met en lumière le réel besoin d’amélioration de la cohérence entre la politique de l’eau et la politique agricole. Surtout, ce projet, comme d’autres sur ce sujet, révèle combien la gestion de cette ressource en tant que bien commun, doit gagner en transparence et en intelligibilité pour tous les citoyens.

Les enjeux de ce dossier sont la qualité de l’eau et des milieux, la gouvernance du projet, et son orientation agricole dans le contexte de l’urgence climatique.

La première question soulevée par ce projet, concernant l’ensemble des habitants du bassin, est la qualité de l’eau. La qualité de la ressource en eau brute prélevée pour l’eau potable est très dépendante des pollutions des sols agricoles. Ceci a une forte incidence sur les traitements nécessaires à sa consommation et sur son coût. Si ces réserves devaient être créées, cet investissement public (70% de financements publics) doit profiter à la transition agro-écologique de toute la profession agricole. Et prioritairement au développement d’entreprises dont les pratiques actuelles diminuent significativement les pollutions en pesticides et nitrates pour notre santé et celle des milieux naturels. La priorité doit ainsi être donnée aux productions de maraîchage pour l’autonomie de l’élevage (culture des fourrages herbagers) et des cultures de protéagineux principalement. Or, au sujet des activités agricoles concernées, nous avons encore trop peu de précisions de la part de la Coopérative de l’eau.

La gouvernance doit aussi être réinterrogée dans ce dossier. Ces équipements, s’ils se créent, devraient être exploités par une instance de gestion, innovante, ouverte à tous les usagers de l’eau pour deux raisons : la part de financement public dans le projet, et surtout la nature de la ressource stockée, à savoir l’eau, bien commun de la nation. Il est important d’envisager de mettre autour de la table tous les intéressés pour réguler conjointement les conflits d’usage. Pour que cette nouvelle ambition de gestion de l’eau participe de la révolution de l’agriculture vers des systèmes agro- écologiques et biologiques reliant ruraux et urbains, paysans et habitants de ces bassins.

La dimension économique du projet a son importance pour que les coopérateurs concernés développent et sécurisent l’activité de leurs entreprises agricoles et agro-alimentaires. A ce jour, ce projet doit toutefois être enrichi de précisions majeures, et être réorienté dans sa perspective. Car cet investissement public engage le territoire pour le futur et suppose la démonstration d’une volonté forte d’aller vers des pratiques de gestion de l’eau vertueuses pour tous, participant à la transition écologique de nos modèles économiques.

Le monde de l’irrigation doit passer d’une logique productiviste à une logique d’accompagnement du changement climatique, pour assurer l’accès à l’eau et la production agricole tout en prenant en compte l’amélioration de tous les usages de l’eau. La gestion de l’eau est au coeur de problématiques environnementales, sociales et économiques de notre époque. C’est une question sensible pour laquelle la puissance publique doit mettre tous ses moyens au service d’un débat constructif et partenarial entre acteurs de notre territoire pour aller de l’avant en « bonne intelligence ».

C’est le sens de ma contribution à l’enquête publique, envoyée ce jour.

Elodie Truong, Conseillère départementale de Niort 2

 

 

Optimisme… de rigueur

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Mardi soir, lors des voeux du Président du Département au personnel, dans la grande salle du manège du Département, l’odeur sucrée du buffet parvenait tout juste à réchauffer l’atmosphère. Et la tonalité optimiste des voeux du Président n’était en rien convaincante.

L’illustration des raisons de se réjouir reprise par le Président était la très bonne résistance des Deux-Sèvres exposée dans la presse ces derniers jours (hausse du nombre d’habitants et taux de chômage au dessous de la moyenne régionale), nous nous en félicitions aussi mais elle n’est pour l’instant pas la résultante de sa politique. En revanche, on est en droit de se demander comment il envisage de conforter cette progression à l’avenir. Car aucun cap, aucun axe fort du projet départemental ne se dessine sur le plan du cadre de vie sociale, environnemental, et culturel des Deux-Sévriens après 2 années d’exercice de la majorité en place. Si ce n’est une approche budgétaire d’austérité, prolongée pour 2017, qui contraint les dépenses de fonctionnement, qui oblige les personnels à faire mieux avec moins et qui mène à des suppressions de postes (projection de ​ 40 ​ suppressions évoquée lors des débats budgétaires) au profit d’une augmentation de la capacité d’investissement et d’endettement.

Pour un certain nombre de salariés du Département aujourd’hui, il sera difficile de goûter l’optimisme qu’on leur sert quand plusieurs voient leurs équipes démantelées, leur avenir ​plongé ​ dans l’incertitude de la «cellule de transition professionnelle», et surtout le sens de leur travail au service du citoyen remis en cause par le manque de moyens.

Ce n’est pas cette vision du travail que nous souhaitons défendre tant  au sein des services publics qu’au sein des structures privées partenaires du Département comme les EHPAD, et le secteur associatif.

L’optimisme oui, mais tout dépend du point de vue !2017

Situation de crise chez les sapeurs pompiers : un problème politique

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Après les agents du Département, les personnels des EHPAD, les parents de collégiens… c’est donc au tour de nos soldats du feu de subir l’application concrète de l’austérité décidée par le Président Favreau, avec son incomparable capacité à casser le dialogue social. De ce point de vue, la nomination de M. Marolleau à la tête du SDIS était une grave erreur de casting. La direction du SDIS n’est pas en cause, il s’agit bien d’une crise de confiance politique, le constat d’échec d’une méthode autoritaire, cassante, qui fonctionne peut-être dans l’entreprise privée de M. Marolleau, mais qui est totalement inadaptée à la tête d’un SDIS.

Nous ne pouvons que soutenir nos sapeurs pompiers, respecter et saluer leur travail et leur engagement, surtout dans cette période sensible où les sollicitations et les attentes sont plus fortes que jamais. Confrontés au danger et aux difficultés les plus graves au quotidien, ils méritent d’être soutenus par leur hiérarchie et par les élus. Au lieu de ça, on les traite avec le plus grand mépris.

Le contexte budgétaire est tendu, aucun deux-sévrien n’est passé à coté de cette information, mais ce n’est pas la seule raison qui pousse MM Favreau et Marolleau à agir ainsi. L’austérité érigée en dogme, voilà ce qu’ils nous offrent !

On demande toujours plus d’efforts aux sapeurs-pompiers et aux agents du Département . On réduit indirectement leurs moyens en n’augmentant pas le budget du SDIS alors que les dépenses de fonctionnement, elles, augmentent inévitablement. Faire plus avec moins, sans cesse…Comment imaginer que le service rendu à la population ne sera pas impacté par cette pression budgétaire et managériale ?

Rodolphe Challet

Groupe Gauche solidaire

À propos de RésALIS…

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La philosophie du dispositif était innovante et vertueuse pour la santé des collégiens, avec plus de bio, et la vitalité des entreprises locales. Les principes d’action et objectifs du programme multi sectoriel ayant prévalu à la mise en œuvre de RésALIS étaient :

– la mise en place d’un groupement d’achats privilégiant la fourniture de produits régionaux et de saison dans les cuisines des collèges ( 2 millions de repas par an) : développer l’économie de proximité tout en maintenant ou améliorant la qualité des produits servis

– la formation des chefs de cuisines des collèges par des techniciens réfé- rents (cuisiniers, techniciens culinaires, diététiciennes)

– un programme d’équipement des cuisines pour améliorer à la fois les conditions de travail et les performances culinaires par des méthodes adaptées – un programme d’information des familles et d’éducation des élèves à la santé par la diététique

– un dispositif d’aides à la structuration de la filière du maraîchage : aides à l’installation et aides à la conversion en bio

– un soutien aux dispositifs logistiques d’approvisionnement

Nous sommes élus, notamment, pour veiller à la santé alimentaire de nos enfants dans les collèges, et RésALIS était une réponse réfléchie et ambitieuse. La mise en œuvre de ce programme est complexe : le système n’est pas sans faiblesses. Elles concernent principalement la logistique (massification et conditions de livraison) et la négociation des prix pour certains produits.

Les améliorations sont possibles par discussions et négociations entre les différents partenaires.

L’extension du système vers les écoles et les lycées doit faciliter ces progrès.

L’actuelle majorité du Conseil départemental propose aux établissements le choix du maintien ou de la sortie du groupement d’achats pour certains groupes d’aliments. Les conséquences seront immédiates  : retour massif de légumes fournis par des grossistes s’approvisionnant en Espagne ou en Afrique du nord et retour des viandes de volailles industrielles. En effet, les collèges, devant le fait accompli de l’interruption des marchés, doivent se tourner vers des solutions d’urgence et faire appel aux circuits classiques d’approvisionnement.

Tous les axes de ce travail sont forcément remis en cause. C’est l’ensemble du système qui s’écroule. Cette évolution est contraire aux objectifs affichés de soutien à l’économie deux-sèvrienne.

Qu’en pensent les maraîchers récemment installés, qui ont investi et programmé des cultures pour répondre aux besoins ? Qu’en pensent les parents d’élèves et leurs fédérations, qui vont voir une baisse de la qualité du service rendu, pendant qu’on augmente le prix de la demi-pension ?

Tout ceci ressemble à une casse en règle qui ne dit pas son nom, or le système mérite de progresser et d’être étendu, pas d’être cassé !

Jean-Claude Mazin

Budget du département : appel à une vraie séance publique et démocratique

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Les membres du groupe Gauche Solidaire forment le vœu que le Président du Département, et sa majorité Union Deux-Sèvres, respectent réellement les conditions d’une séance publique et démocratique lors du vote du budget lundi 21 mars :

Que cette séance ne soit pas un simulacre de débat, comme nous l’avons vécu lors du Débat d’orientations budgétaires, avec une représentation des Vice-Présidents, orchestrée pour durer en longueur dans le seul but de contraindre l’opposition à écourter ses arguments et ses questions.

Que nous puissions avoir la parole sans essuyer un « je ne veux pas vous entendre ».

Et bien évidemment que le public puisse accéder à la salle et assister aux échanges. Comme cela doit être le cas dans notre pays où la transparence et la publicité des débats garantissent l’exercice de la démocratie dans l’action publique.

manifestation le è mars 2016

Communiqué de presse – 7 mars 2016

En principe, la présentation du budget de la collectivité est l’aboutissement d’un processus de discussions. La mobilisation exceptionnelle et le blocage de la séance publique de ce matin sont les conséquences logiques du comportement autoritariste du Président du Conseil départemental et de son directeur général depuis près d’un an. La méthode utilisée conduit à une impasse totale. Le fait de refuser la parole au groupe Gauche solidaire a été le point d’orgue de cette tentative de passage en force, avec fermeture du débat. Ne pas vouloir nous entendre, c’est un déni démocratique qui ne peut rester sans conséquence.

Avant le vote du budget 2016 prévu le 21 mars prochain, nous demandons au Président Favreau :

    d’organiser de vraies discussions avec l’ensemble des partenaires sociaux et acteurs concernés par la réduction du budget de fonctionnement

    de revenir sur les moyens accordés aux maisons de retraite notamment la prise en charge de l’animation en EHPAD

    de maintenir la formation des bénévoles de solid’Rnet pour continuer à lutter contre la fracture numérique

    d’annuler les hausses extravagantes de tarifs proposés pour 2016

Si l’organisation du débat le permet, nous porterons, entre autres, ces propositions à la connaissance de nos collègues de l’actuelle majorité. Il faut maintenant revenir à un climat de sérénité, de respect mutuel et d’écoute pour l’intérêt général de tous les deux-sévriens.

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